Caquelon du vieux Belœil – Quand dorloter les clients devient une seconde nature!
L’histoire du restaurant remonte à 1981 alors qu’il portait le nom de Fondue Caquelon et qu’il avait pignon sur le boulevard Sir-Wilfrid-Laurier. L’un des premiers restaurants de Belœil, dit-on. Depuis cinq ans, l’établissement est devenu la propriété de la famille Limoges et occupe maintenant la jolie maison de l’ancienne Crêperie dans le Vieux-Belœil. David Limoges, chef exécutif, est l’heureux responsable du menu. Rose-Marie Richard et Isabelle Limoges assurent, pour leur part, la gestion entière du restaurant.
L’aménagement dans le Vieux-Belœil et la volonté de l’équipe d’attirer une clientèle diversifiée, surtout les midis, se sont révélés au fil des jours la voie à suivre. Bien sûr, la pandémie laisse des traces, mais le Caquelon du vieux Belœil a su innover dans les circonstances, en gardant toujours en tête le bien-être de ses clients. C’est ainsi qu’un grand chapiteau a été mis en place pour prolonger la terrasse durant la belle saison. Toutes les mesures de sécurité sanitaire sont observées et garantissent la tranquillité d’esprit aux convives.
Un menu revisité dans le respect des coups de cœur !
David, chef et copropriétaire, nous avoue que la fondue n’est pas exactement le plat idéal à l’heure du lunch. Les tartares et autres plats bistros viennent bonifier tant la carte du soir que celle du midi. Les bols de poké variés, nachos gourmands, tartares et salades exquises ont vite attiré de nouveaux convives et conquis les habitués.
Évidemment la fondue, bien sûr la soupe à l’oignon… La grande réputation du Caquelon repose sans aucun doute sur ses classiques, et cela inclut la fameuse crème brûlée et le délectable gâteau au fromage. David aime à préciser que ces plats distinctifs sont basés sur la qualité, la fraîcheur des ingrédients et la confection maison des sauces et soupes. Aux fromages haut de gamme, québécois et d’importation, s’ajoutent des viandes Triple A et des sauces qui rehaussent sans contredit les standards des fondues au Caquelon.
De succulentes crêpes sont servies les fins de semaine ; un clin d’œil à l’ancienne crêperie et un accueil chaleureux réservé à sa clientèle. Lorsque l’on parle de dorloter les clients, on réfère aussi à ce genre de délicatesses.
Le secret est dans… l’amour des restaurateurs pour leur clientèle. Cela ne se dément pas et notre duo Plaisir & Bien-Être l’a expérimenté ! La gentillesse dès l’accueil et l’humeur ambiante ; tout, au Caquelon du vieux Belœil, nous fait baigner dans la simplicité et l’harmonie. L’équipe connaît son monde et traite ses invités comme elle aimerait l’être. Même chose pour la qualité des mets, David insiste : « si je n’aime pas ce que je goûte, je ne le servirai pas à mes hôtes ». La recherche du wow est omniprésente et leur réussit bien.
Lors de sa visite, notre duo s’est régalé de succulentes entrées en commençant par une fondue suisse pour deux avec un supplément de viande des Grisons, suivie d’une verrine de crevettes nordiques, pomme & avocat ainsi que d’une soupe à l’oignon. Ce prélude festif s’accompagnait d’un Pinot Grigio Opera Prima. En plats de résistance ont été servis un saumon poêlé et sa sauce vierge et un Tartare de bœuf. Cette fois, le Valpolicella Classico fut désigné en accord parfait. Comment mieux terminer ce repas divin que par une somptueuse fondue au chocolat ? Impossible, et notre duo Plaisir & Bien-Être en témoigne.
La carte des vins bien garnie propose uniquement des produits d’importation. Le Caquelon ne lésine pas sur les goûts variés de sa clientèle et se fait un devoir de trouver les bons accords mets et vin pour chacun. Les cocktails connaissent aussi un bon succès, le Bloody Ceasar aux fèves marinées, entre autres, laisse sa marque. Encore une fois, la qualité et la satisfaction de la clientèle priment. Notre duo le constate avec plaisir.
Comme on le dit souvent : « il y a beaucoup d’amour dans la place » ; dans l’accueil, dans le service, dans les assiettes. Comme tout est fait maison et demande de la préparation, les réservations sont idéales, mais il ne faut pas hésiter à tenter sa chance et ne pas bouder par son plaisir ! Attention aux jeudis agrémentés de chansonniers, là il vaut mieux réserver.
Convivial, chaleureux, comme à la maison… au Caquelon du vieux Belœil.
